Ce premier article inaugure une petite série de portraits sur le métier d’écrivain public et les écrivains publics eux-mêmes, tel qu’ils sont présentés dans les médias audiovisuels et les journaux imprimés, dans la mesure où les archives sont disponibles et accessibles.

La perception qu’a le citoyen des écrivains publics et de leur rôle dans la société, comme des services qu’ils peuvent rendre, dépend en grande partie de l’image qui en est donnée par la télévision, la radio et la presse, laquelle peut fortement varier suivant l’angle selon lequel ce sujet est traité par ces différents supports d’information.

Ainsi, pour illustrer le propos, je vous propose de vous replonger dans les actualités du printemps 1951, où « à Paris, rue du faubourg Saint Denis, un homme se rend chez une femme écrivain public pour faire écrire un poème ».

Comme le dit le journaliste, « il existe encore », près de chez vous, « un représentant (...) du plus ancien peut-être des petit métiers : l’écrivain public n’est pas mort ! »

« Et maintenant, s’il vous arrive de peiner sur une déclaration d’amour, n’hésitez pas, allez chez l’écrivain public ! »