
Présentation
L’Écho des Mots… en trois mots ! Le créateur
Introduction
Ce nom n’a pas été choisi au hasard puisqu’il fait référence, dans mon histoire personnelle, au deuxième recueil de poèmes que j’ai écrit [1] et qui, comme le premier [2], est auto-édité et n’a encore été publié que de manière confidentielle par mes soins.

Texte : Christophe ANCELIN (Mai 2006)
Illustrations : Luis ROYO
Jusqu’en 2005 en effet, l’écriture était pour moi un loisir créatif, exercé principalement en dehors du cadre socioprofessionnel, hormis quelques expériences significatives dans les médias ou pour des structures associatives et des activités bénévoles. Mais c’était aussi et avec plus de vigueur désormais, une raison de vivre !
Ce faisant, l’écriture peut très bien n’être qu’intime. L’écriture est parfois l’exutoire d’épreuves douloureuses qui permet de survivre, lorsqu’elle libère une parole étouffée ; l’écriture soigne certains maux avec des mots lorsqu’elle explique un passé, une relation, ou qu’elle traduit une réflexion, une position.
L’écriture peut aussi, comme je souhaite maintenant mettre la mienne à votre service, créer, aider, faciliter les liens sociaux, individuels et collectifs.
En trois mots
L’Écho des Mots est donc à l’origine une aventure personnelle.
Elle est la traduction du ressenti de mon métier et de mes capacités à l’exercer, la somme des compétences et des talents que je suis en mesure, après dix-huit années d’expériences salariées et de réflexion, de mettre au service d’autrui ; c’est l’aboutissement d’une ancienne envie et l’émergence d’un besoin nouveau.
Il y avait d’abord ce goût immodéré de lire et d’écrire, de ne faire que ça, de vivre de cela ; en 1993 déjà, encore lycéen à Marceau [3] mais déterminé, je souhaitais créer une entreprise de presse, faire un fanzine, informer...
C’était une idée.
Le temps l’a faite mûrir et quinze ans plus tard [4], c’est un projet bien différent mais aussi plus concret que je présentait en Eure-et-Loir.
Il se concrétisera finalement en 2010, à Ézy-sur-Eure [5].
C’est aujourd’hui cette conviction de ne pouvoir vivre autrement, de n’être « utile en société » que par mes lectures et écritures, et cette évidence que je constate : la seule chose que je sais faire, et que je sais faire bien, c’est lire et écrire.
Apprendre, comprendre, partager, je ne souhaite pas et ne pense pas faire autre chose désormais. Il en va de ma place dans la société et de déterminer si je peux être un citoyen actif…
Voir en ligne : Le créateur de L’Écho des Mots