Introduction

La profession d’écrivain public est une profession libérale non réglementée. Les professionnels en activité ne disposent pas d’un Ordre ou d’un Conseil Supérieur chargé d’orienter et de contrôler les bonnes pratiques et les usages du métier, contrairement aux avocats et aux médecins.

Elle ne bénéficie pas, non plus, d’organisations professionnelles suffisamment représentatives et structurées pour défendre ses intérêts et parler en son nom.

En conséquence, chaque écrivain public, déclaré comme tel, définit ses propres règles d’exercice, fixe ses tarifs librement, n’est pas obligé de justifier d’un niveau de qualification minimum et a le choix d’observer et de se conformer ou non aux diverses chartes en vigueur dans ses domaines d’activité.

Une exigence de qualité

Porteur d’un projet de création de cabinet d’écrivain public depuis 2005, j’ai pour ma part choisi de fournir au public un service de qualité dans un cadre strict, garant du sérieux de l’entreprise et des prestations proposées. Avant de me déclarer comme professionnel [1], je me suis donc formé pour obtenir les qualifications et compétences nécessaires à l’exercice du métier.

Le diplôme le plus élevé [2] le concernant aujourd’hui est la licence professionnelle d’écrivain public délivrée par l’université de la Sorbonne Nouvelle à Paris.

Une référence sérieuse

Le référentiel de la formation est disponible sur le Répertoire National des Certifications Professionnelles (RNCP) et le métier fait l’objet d’une fiche détaillée dans le Répertoire Opérationnel des Métiers et des Emplois (ROME) du Pôle Emploi.